Critique #052 – Izana, la voleuse de visage de Daruma Matsuura
» La laideur a ceci de supérieur à la beauté qu’elle ne disparaît pas avec le temps, » disait Gainsbourg. Après tout qui connaît la véritable définition de la beauté et surtout ce qu’elle représente. Tout au long des siècles ce mot a connu différentes définitions pour ne jamais en trouver une définitive. Tantôt ceci ou tantôt cela, elle est suggestive et changeante selon le regard de qui la voit. Izana reprend non seulement ce concept mais la fait évoluer autour d’un mythe tout aussi effrayant qu’improbable.