Critique #206 – Et pour le pire par Amanda Prowse

Combien de femmes subissent les violences de leur mari, conjoint, ou petit ami ? Beaucoup trop. Une femme s’est déjà une de trop. L’espoir de voir cela cesser est une chose à laquelle on doit croire, malgré tout le chemin qui reste à parcourir pour enfin dire que plus aucune femme ne meurt sous les coups de celui qui prétend l’aimer. Et pour le pire est une fiction mais, malheureusement, trop proche de la réalité. À travers le personnage d’une femme en quête de liberté, Amanda Prowse livre un roman sans voyeurisme aucun qui pousse à réfléchir et à garder espoir.