Critique #145 – L’Assassin de ma soeur par Flynn Berry

Le thriller est un genre qui se décline en plusieurs sous-genres. Nous avons le psychologique, le très noire, le sanglant, le sombre, et j’en oublie. L’Assassin de ma soeur picore un peu dans chaque catégorie, et nous racontant comment une soeur va mener l’enquête pour découvrir l’assassins de sa soeur sans se douter que parfois la vérité peut être bien différente de ce que l’on imagine.

Critique #142 – L’Intelligence du bonheur par P. Z. Reizin

L’amour peut-il être programmé ? C’est une question que l’on se pose à la lecture de ce roman, le premier de l’auteur. Internet, technologie, et intelligence artificielle dictent le ton de cette romance contemporaine teintée d’un bon humour. L’amour entre deux personnes est-il une question d’osmose et de découverte de l’un et l’autre, ou peut-on se fier à la science pour nous trouver la perle rare. À vous de trouver les réponses avec L’Intelligence du bonheur.

Critique #112 – Toutes blessent, la dernière tue de Karine Giebel

Surnommée « reine du polar » par des milliers de lecteurs, Karine Giébel est revenu en mars dernier avec Toutes blessent, la dernière tue, aux Éditions Belfond. Et c’est sans sourciller que l’auteure nous attrape par ses mots, laissant son emprunte incisive dans notre esprit. Sombre, violent et difficile, Karine Giébel dresse le portrait d’une réalité de société beaucoup trop cachée : l’esclavagisme moderne. 

Critique #111 – Meurtres, en toute intelligence de Jacques Attali

Objet non identifié en approche, je répète, objet non identifié en approche. Si on craint de voir un jour débarquer les extraterrestres dans leurs vaisseaux, on devrait avant tout avoir peur de nos propres objets volants. Après le danger du terrorisme dans les avions, la sécurité fut renforcée, mais quand est-il des drones que l’on voit fleurir ici et là ? Si à premières vues on se dit que ces objets dont pour « le divertissement » on peut craindre de les voir utiliser comme des armes. Guerre, meurtre commandité, attentat…. l’Homme ne cesse de créer ce qui pourrait causer, à terme, sa perte.

Critique #067 – Wonder Woman : Warbringer de Leigh Bardugo

Avec le succès du film en juin dernier, Wonder Woman est en plein dans le milieu de l’oeil du public et avec Justice League dans quelques jours en salles, sa présence et les histoires autour d’elle ne vont cesser de fleurir. Et c’est tant mieux ! Wonder Woman existe depuis 75 ans et se doit de briller avec la même intensité que les Superman et les Batman. Le message d’espoir, d’amour et de tolérance qu’elle porte en elle depuis sa création des mains de Williams Moulton Marston se doit d’être entendu et transmis. Avec Warbringer, son message est encore plus fort et parlera aux nouvelles générations comme aux plus anciennes.