Critique manga #313 – Black or White tome 2, Heartless (one-shot)

Deuxième tome pour la série Black or White qui nous transperce de sa mélancolie et sa romance qui pourrait bien finir de manière dramatique. Deux êtres réunis par le métier et la passion du cinéma devant cacher leur relation aux yeux de tous. Entre jalousie et peur du lendemain, Black or White reste saisissant. Puis, changement d’ambiance avec l’horrifique Heartless. Un one-shot qui va à 100km/h sur le surnaturel avec en personnage principal un succube. 

Critique #169 – Heartless tome 2: Despair, Heartless tome 2.5: Vacant par Ker Dukey

Heartless: sans coeur, cruel ou sans pitié. Mercy: miséricorde, pitié, indulgence ou grâce. Voilà les traductions françaises de ces deux mots anglais utilisés comme sous-titres pour le premier tome de la saga écrite par Ker Dukey. Pour sa suite, l’auteure britannique a misé sur Despair, mot signifiant désespoir. Ce dernier est bien présent, mais comme on le découvre, Dukey l’écrit de tant de manière que ses personnages semblent prendre vie en dehors des pages. Puis, Vacant, sous-titre de la novella 2.5 de Heartless nous parle de ce sentiment de vide que l’on peut ressentir après la perte de quelqu’un, ou simplement quand on ne sait pas qui nous sommes. Magistral, effrayant, Ker Dukey possède une plume qui peut rivaliser avec Maxime Chattam et Stephen King, les maîtres du thriller racontant les êtres humains comme nul autres. 

Critique #167 – Heartless, tome 1: Mercy de Ker Dukey

Heartless: sans coeur, cruel ou sans pitié. Mercy: miséricorde, pitié, indulgence ou grâce. Voilà les traductions françaises de ces deux mots anglais. Ker Dukey raye de son écriture les codes de la romance, pour nous plonger dans la froideur de deux frères machiavéliques pouvant faire rougir ce cher Dexter Morgan né dans l’esprit de Jeff Lindsay en 2004. Ce premier tome de Heartless est tordu et hallucinant. Plus on avance, plus on se demande combien de personnes aussi noires et indescriptibles nous croisons dans la rue. Espérons pas tant que ça. Nous cachons tous des secrets dans l’ombre que l’on projette sur le mur. Mercy pourrait en être le reflet et Ker Dukey l’a parfaitement compris.