Critique manga #308 – Marry Grave tome 4 et 5

Marry Grave est une série qui aura réussi à me séduire dès le premier tome. Coupé dans son écriture, Hidenori YAMAJI aura tout fait pour que la série puisse avoir une conclusion acceptable lors de l’écriture du tome 5, qui a été le dernier. Une frustration et un défi pour son auteur, qui au final aura réussi le pari de donner une conclusion plaisante. La seule déception que l’on a réside dans le fait que l’on ait dû se séparer de Sawyer, Jane, Dante, Rosalie et les autres bien trop tôt. 

Critique manga #268 – Marry Grave tome 3

Sawyer et la fée Noire Jane poursuivent leur quête pour mettre la main sur tout les ingrédients destinés à redonner la vie à Rosalie, la femme de Sawyer. Que l’on soit dans le tome 1 ou comme ici dans le troisième tome, les émotions des personnages et l’aura qu’ils dégagent ont leur importance. Une série courte que je ne peux que vivement recommander !

Critique manga #235 – Marry Grave tome 2, Versailles of the Dead tome 1

Marry Grave est une mini-série en 5 tomes qui malgré le fait qu’elle parle d’un mort-vivant ressuscité est une petite ode à la vie. Le personnage de Sawyer est le digne héritier d’Un Edward au mains d’argent imaginé ici par Hidenori YAMAJI très inspiré Burton. L’univers Fantasy est un régale aussi bien au niveau du scénario que du dessin. Dans la lecture suivante, on part pour la France juste avant la Révolution au XVIIIème siècle, avec le tome 1 de Versailles of the Dead. Marie-Antoinette se dirige vers son mariage arrangé et politisé avec Louis-Auguste, quand soudain son carrosse et attaqué. Le seul survivant son frère va alors prendre sa place… mais ses intentions semblent bien sombres et mortelles. 

Critique manga #217 – Marry Grave tome 1, Moriarty tome 4

Pour la découverte du nouveau shonen des éditions Kana, Marry Grave, je vous demanderai de sortir vos écouteurs et de chercher une chanson sombre à l’élégance gothique, comme par exemple du Placebo. Ok, le groupe n’est pas du tout gothique, mais il y a une certaine atmosphère qui se dégage de la voix de Brian Moloko que l’on pourrait lier à l’histoire de Sawyer. Amour perdu, mélancolie et un brin de folie. Trois adjectifs que j’associe volontiers au groupe de Brian. Allez, on s’écoute The Bitter End et on se laisse porter par le scénario. Parce que Sawyer vous touchera en parlant de sa Rosalie, alors qu’un sentiment à la Tim Burton se colle en arrière-plan. Le tome 4 de Moriarty, lui, vous donnera envie d’aller préparer un peu de thé et de voir la stratégie de l’Empire Britannique d’antan et la corruption germer parmi les peuples.