Critique #188 – Spring Girls de Anna Todd

Anna Todd s’est fait connaitre dans le monde entier avec sa saga After. Véritable phénomène du New Adult et New Romance, elle a su donner vie à des personnages qui auront autant charmé et soupiré les lecteurs, que les faire s’arracher les cheveux. Il faut dire que l’alchimie entre Hardin et Tessa est bien présente mais que les secrets de chacun vont les faire vivre des moments difficiles. Après une telle saga, que faire ? Spring Girls est un one-shot qui s’inscrit dans un registre totalement différent. Une lecture qui divise, mais qui pour moi aura rempli son objectif : me présenter l’écriture d’Anna Todd sous un autre jour. 

TAG PKJ #001 : À TRAVERS LE MONDE

C’est en ce dernier vendredi du mois d’avril, que je décide de me lancer dans un rendez-vous, qui ne sera pas hebdomadaire, mais occasionnel et le plus souvent possible. C’est à force de voir le TAG PKJ passer que mon envie d’y participer a grandi.

Critique #109 – Les Bracelets rouges de Albert Espinosa

Publié pour la première fois en 2008 dans sa langue d’origine, Le Monde Soleil, devenu par la suite Les Bracelets Rouges a été une sorte de thérapie pour son auteur, Albert Espionosa. Atteint d’un cancer et hospitalisé pendant dix ans. Mais au lieu de s’apitoyer sur son sort et se laisse à aller à la mort, il prendre le temps d’apprendre de sa situation pour toujours y extraire du positif. 

Critique #101 – Tu me plais de Jacques Expert

Tu me plais est le deuxième thriller de Jacques Expert que je lis après Hortense. Séduite par sa plume et sa façon de manier le genre, c’est avec curiosité et un plaisir non dissimulé que je me suis lancée dans Tu me plais, un inédit paru aux éditions Le Livre de Poche.

Critique #100 – Joyland de Stephen King

Est-il encore nécessaire de présenter Stephen King et son univers particulier ? Je ne pense pas. Que ce soit dans la lecture, la télévision ou les films au cinéma, les œuvres de cet auteur américain restent des sources d’inspirations et d’adaptations depuis des décennies. Petit focus aujourd’hui sur Joyland.

Critique #095 – Par amour de Valérie Tong Cuong

Comme pour les blessures, certaines horreurs commises dans l’Histoire de l’humanité ne peuvent jamais trouver de remèdes pour expier les maux engendrés. Parmi les lectures sur le sujet de la Seconde Guerre Mondiale, Par Amour de Valérie Tong Cuong arrive à se distinguer de par la plume de son auteur. Un récit poignant où l’amour et le sacrifice vont de pairs.

Critique #094 – Calendar Girl, tome 2 : Février

Quel est le point commun entre Calendar Girl et Gossip Girl ? Son univers haut en couleur et en parfums de Chuck et Blair, sans le possible côté malsain s’il vous plaît. Ah, et n’oublions pas le fait que Calendar Girl va être adapté par les producteurs de Gossip Girl. De quoi mettre l’eau à la bouche me direz-vous. Toutefois, avant de voir débarquer Mia ses hommes sur notre petit écran, il est de bon ton poursuivre notre lecture avec ce tome 2. Alors, détendez-vous et laissé vous entraîner dans un road trip sexy à travers les États-Unis. 

Critique #090 – Le Bureau des jardins et des étangs de Didier Decoin

Découvrir des paysages que je ne peux encore voir de mes propres yeux, et en humer les odeurs saupoudrant l’air est un sentiment que je tente de combler par les lectures. Le Bureau des jardins et des étangs en est le parfait exemple. Le Japon du XIIème siècle qui s’offre à nous à travers les mots de Didier Decoin est transcendant, beau et touchant.  

Critique #089 – Calendar Girl, tome 1 : Janvier

Quel est le point commun entre Calendar Girl et Gossip Girl ? Son univers haut en couleur et en parfums de Chuck et Blair, sans le possible côté malsain s’il vous plaît. Ah, et n’oublions pas le fait que Calendar Girl va être adapté par les producteurs de Gossip Girl. De quoi mettre l’eau à la bouche me direz-vous. Toutefois, avant de voir débarquer Mia et Wes sur notre petit écran, il est de bon ton de se plonger dans ce premier tome. Alors, détendez-vous et laissé vous entraîner dans un road trip sexy à travers les États-Unis.