Critique #233 – Hades Hangmen tome 6 de Tillie Cole, Dollars tome 3 de Pepper Winters

On replonge dans la genre Dark Romance pour mieux tenter de se comprendre et de comprendre l’espèce humaine. Parfois lire des choses plus intenses permettent d’évacuer nos propres tournaments. Et dieu seul sait combien cette année 2020 en est rempli… Alors merci Tillie Cole et ses Hades Hangmen, et Pepper Winters avec Dollars.

Critique #185 – Dollars tome 2 : Dollars par Pepper Winters, Company of Killers tome 4: À la recherche de Nora de J.A. Redmerski

Avec son quatrième tome, la saga Dollars de Pepper Winters emprunte un nouveau chemin fait de manipulation psychologique et plus si affinités. Servi par un personnage bien particulier dans ses actions, À la recherche de Nora est le tome qui installe véritablement la série Company of Killers dans le paysage du New Adult sombre et haletant. Deux histoires bien différentes servies par des plumes entrainantes à découvrir si ce n’est pas encore fait. 

Critique #171 – Dollars T1: Pennies, Pure Corruption T2: Crime et Expiation, Monsters in the Dark T4: Larmes sincères de Pepper Winters

Psychologiquement torturée est la manière dont j’aime dévorer les personnages de mes lectures. Si le soleil brille un peu trop fort, je détourne le regard pour ne pas perdre la vue. Enfin cela dépend de mon état d’esprit et de mon humeur. Et si en ce moment mes lectures ne semblent pas être des plus joyeuses, sachez que dans l’obscurité du genre de la Dark Romance existe bel et bien une leur d’espoir, d’amour et qu’en aucun cas les femmes y finissent des victimes à vie. Non, ce sont des guerrières à la manière d’une Wonder Woman – pour ne citer que la plus connue – et que chacune arrive à se relever pour mieux frapper la vie en pleine face. Pepper Winters, auteure des trois sagas décortiquées ci-dessous, l’a bien compris et on lui dit merci !

Critique #166 – Pure Corruption T1: Vice et Vertu, Monsters in the Dark T3: Larmes silencieuses de Pepper Winters

Il existe une chanson intitulée  »Dark Romance » par l’artiste Jecynn, dont la voix fait penser à Brian Moloko du groupe Placebo. Les paroles évoquent une relation amoureuse entre jeu et sincérité, que les protagonistes semblent ne pouvoir quitter. “Alors peut-être que nous allons mourir ensemble”, chante la voix. Puis, les guitares rock – vraiment très Placebo – se font plus claires alors que les mots restent sombres. Cette simple chanson peut définir ce qu’est la Dark Romance, énième sous-genre de la Romance. Avec Pure Corruption et Monsters in the Dark, l’américaine Pepper Winters en est l’une des Reines. Découvrons ensemble pourquoi.

Critique #141 – Company of Killers, T1: À la recherche de Sarai par J.A. Redmerski, Monsters in the Dark, T2 : Larmes brûlantes de Pepper Winters

L’humanité court à sa perte, c’est un fait. Que vous y croyez ou non, cela ne change en rien le destin de l’homme. Appelez-moi pessimistes, moi je préfère me dire que je suis entre les deux, presque « borderline ». Je crois en l’homme et en même temps je ne peux réprimer la honte qui m’envahit quand un fait sordide sur l’acte barbare d’un être humain envers un autre (ou un animal) est dévoilé au grand jour. Chaque fois je me dis que « j’aurais vraiment tout entendu dans ma vie », et c’est là qu’une atrocité encore plus grande que la précédente tombe comme pour me prouver que j’ai tort. La dark romance et autres récits dit sombre, comme les thrillers, permet de mettre en lumière toute cette cruauté sauvage qui habite les pires homo sapiens de la planète. Et si certains sortent l’argument comme quoi il s’agit d’une fiction, je vous dirais : crime sexuel, esclavage, torture, etc. Cela existe encore de nos jours que les médias en parlent ou non. 

Critique #121 – Monsters in the Dark, tome 1: Larmes amères de Pepper Winters

La Dark Romance est un genre que je ne lis que très rarement. Alors, quand j’ai vu la sortie de Monsters in the Dark je me suis dit « pourquoi pas? ». Même si 50 Shades of Grey n’est pas de la DR, j’avais un peu peur d’y retrouver tout ce que je ne supporte pas dans la narration de son auteure : des personnages creux, un Grey faussement sombre, que Anastasia insupportable et des faux rebondissements rappelant les films d’action à la James Bond sous domination par la cravache. Bref, dans Monsters in the Dark si quelques similitudes existent, le récit aborde un thème important : l’esclavagisme sexuel. Saviez-vous qu’en 2017 Le Point rapportait que le trafic d’êtres humains « ne c’était jamais aussi bien porté » ? Et que dire de celui touchant le milieu du sexe ? Des chiffres affolants, des actes barbares et j’en passe. Bien entendu, en annexe nous aussi une romance qui se forme et qui rythme le récit. Personnages aux multiples facettes, rythme soutenu, suspense, érotisme…. une cocktail qui trouvera aussi bien ses détracteurs que ses amateurs. À vous de vous faire une idée.