Critique #171 – Dollars T1: Pennies, Pure Corruption T2: Crime et Expiation, Monsters in the Dark T4: Larmes sincères de Pepper Winters

Psychologiquement torturée est la manière dont j’aime dévorer les personnages de mes lectures. Si le soleil brille un peu trop fort, je détourne le regard pour ne pas perdre la vue. Enfin cela dépend de mon état d’esprit et de mon humeur. Et si en ce moment mes lectures ne semblent pas être des plus joyeuses, sachez que dans l’obscurité du genre de la Dark Romance existe bel et bien une leur d’espoir, d’amour et qu’en aucun cas les femmes y finissent des victimes à vie. Non, ce sont des guerrières à la manière d’une Wonder Woman – pour ne citer que la plus connue – et que chacune arrive à se relever pour mieux frapper la vie en pleine face. Pepper Winters, auteure des trois sagas décortiquées ci-dessous, l’a bien compris et on lui dit merci !

Critique #166 – Pure Corruption T1: Vice et Vertu, Monsters in the Dark T3: Larmes silencieuses de Pepper Winters

Il existe une chanson intitulée  »Dark Romance » par l’artiste Jecynn, dont la voix fait penser à Brian Moloko du groupe Placebo. Les paroles évoquent une relation amoureuse entre jeu et sincérité, que les protagonistes semblent ne pouvoir quitter. “Alors peut-être que nous allons mourir ensemble”, chante la voix. Puis, les guitares rock – vraiment très Placebo – se font plus claires alors que les mots restent sombres. Cette simple chanson peut définir ce qu’est la Dark Romance, énième sous-genre de la Romance. Avec Pure Corruption et Monsters in the Dark, l’américaine Pepper Winters en est l’une des Reines. Découvrons ensemble pourquoi.